jeudi 16 mai 2019

Être (presque) zéro déchet : cinq principes



Bonjour tout le monde !

Comme une publication précédente, j’aimerais partager mon expérience et je me concentre ici sur les cinq principes de zéro déchet : Refuser, Réduire, Réutiliser, Recycler et Composter. L’idée fausse qu’on a reçue en Indonésie est partagée seulement en trois : Réduire, Réutiliser et Recycler, qui provoque souvent l’encombrement (surtout à la maison).

Premièrement, REFUSER tout ce dont on n’a pas besoin : c’est-à-dire les produits à usage unique (comme les sacs, les contenants, et les couverts en plastiques), les dépliants, les publicités imprimées (et la solution est d’arrêter la souscription des catalogues imprimés, ou en France on met l’étiquette « STOP PUB » dans la boîte aux lettres), les kits (goodies) et les tickets de caisse (qui n’est pas facilement recyclable ni compostable).

Deuxièmement, RÉDUIRE les gaspillages alimentaires (selon le séminaire que j’ai suivi, Indonésie est le deuxième pays ayant trop de déchets alimentaires, alors que beaucoup entre nous ont encore très faim), les emballages jetables (pareil comme les plastiques, mais il existe aussi les autres matériels pour l’emballage), et la consommation d’énergie (éteindre l’eau et l’électricité quand on ne les utilise pas). En plus, acheter moins peut éviter la surcharge chez soi, et en même temps on fait des économies en achetant des produits locaux, des choses en vrac, et des choses en occasion (ce dernier se trouve souvent moins cher) et ; prendre soin de nos affaires peut se faire en quelques exemples : réparer tout ce qui est cassé, faire un échange ou partager des choses avec des amis et, donner quelques-uns de vos affaires pour ceux qui en ont besoin. Résultat ? Acheter les produits alimentaires en vrac nous évite d’acheter les nourritures à emporter (ce qui est souvent emballé en polystyrène étant très néfaste pour la santé) et manger tout ce qu’on a déjà.

Troisièmement, RÉUTILISER tout ce qu’on a déjà. C’est-à-dire, (ré)utiliser ce qui peut avoir une seconde vie, comme par exemple : un vieux tee-shirt peut être upcyclé en « sac en vrac », utiliser les contenants « Tupperware » ou les bocaux en verre–mais si on n’en a pas, c'est bien d’acheter en quelques tailles selon les besoins. C’est vrai qu’ils sont chers, mais ils sont des investissements pour notre quotidien et pour la vie–, etc.

Quatrièmement, RECYCLER les choses inévitables, comme par exemple : des verres, des papiers, des cartons, des métaux, des tissus, des stylos, des cartouches d’encre et des bouchons. Il existe aussi quelques plastiques recyclables, même s’il y en a qui sont très difficiles à le faire. Je vais publier plus tard des types de plastiques.

Dernièrement, COMPOSTER les déchets organiques. Pas tous les organiques sont compostables, et selon le blog Zero Waste Adventure, quelques déchets alimentaires à base d’animaux ne sont pas vraiment compostables. Chez moi, je composte toujours les déchets à base de plantes, et j’apprends encore ce qui sont compostables, il me faut beaucoup de recherches.

J’espère vraiment faire un impact positif pour la planète, même si on est très peu d’en faire.

@naragrandis
(apprentie d’être écolo)