dimanche 3 novembre 2019

... (1)

L'homme dont je vais parler n'est pas celui pour qui j'ai le béguin, mais plus précisément, un ami qui a été scolarisé en même année que ma meilleure amie (celle-ci, je reste toujours en contact).
On a 4 ans d'écart, je l'ai connu depuis qu'il a travaillé à l'école où on a été scolarisés, même si nous nous parlions très rarement. Entre nous, on est juste amis. Nous avons commencé à se parler juste après qu'il m'a demandé des nouvelles de ma meilleure amie. Il est ouvert d'esprit, gentil... mais en fait, le même caractère qu'on a, c'est l'idéalisme.
Quelques mois après ma remise de diplôme, il m'a proposé de manger ensemble au petit restaurant près de mon université. À l'époque, il s'est déjà inscrit au master en enseignement de mathématiques, même domaine que sa licence en Turquie. Il m'a raconté son choc de système pendant ses études. Il aimerait vraiment étudier à l'étranger mais malheureusement, il n'a point obtenu sa bourse, même s'il était admis de la part de l'université en Suède et au Royaume-Uni.

... à suivre

mercredi 16 octobre 2019

lundi 2 septembre 2019

I'm back ! (or not really...)


Bonjour à tous !

Je suis enfin dans un pays de mon rêve pour un peu plus longtemps, 2 ans si tout allait bien, j'espère ! Je serai très occupée, et je serai de plus en plus active sur Instagram. Je vais raconter petit à petit sur ce que j'adore dans la ville où je poursuis mes études cette année.

Bisous bisous,
@naragrandis

mercredi 7 août 2019

dernier dessin.


-NRG, 2019-

les devoirs à moi-même

trousse pour le vêtements pour la prière

sac "banana" sur lequel j'ai collé l’étiquette "NRG"

refaire le clutch "Clare Vivier"

veste vintage de ma mère (devant)

veste vintage de ma mère (derrière) après avoir ajouté l'autocollant "I <3 PARIS"

veste militaire que j'ai fait faire il y a 9 ans (derrière) après avoir ajouté l'autocollant "PARIS"

veste militaire que j'ai fait faire il y a 9 ans (devant)

J'aimerais juste montrer mes retouches et mes DIYs pendant que j'ai attendu l'admission de l’Université en France. Ce sont comme les devoirs à moi-même (self-assignment).

A RETENIR (encore et encore)



Je vous dirai pour la dernière fois que mon propre livre (gauche) n'est pas disponible à Gramedia, et s'il vous plaît, ne me posez plus la même question à plusieurs reprises (surtout un "fan" qui commente dans ce blog il y a un an étant très stupide de me questionner plusieurs fois) ! Le livre à droite est le projet que mes amis ont fait sur la traduction du français à l’indonésien, et ce dernier est bien disponible à Gramedia.

Merci beaucoup pour votre compréhension.

NRG

9/1/1 Coffee Lab Bandung




Voici l'un des cafés locaux à visiter ! Ceci est situé à Bandung, près de l’hôpital "Halmahera" dans lequel ma grand-mère passe sa thérapie (kiné, précisément), en Indonésie. Le menu est relativement pas cher, surtout pour les étudiants qui vivent seuls, loin de leur ville natale/domicile qu'on peut dire "mahasiswa rantau".

vendredi 26 juillet 2019

jeudi 13 juin 2019

bricolage : du t-shirt au sac en vrac


Bonjour !

Le t-shirt dans cette image était celui que l'Association des étudiants du département de français (AEDF) dans mon université m'a donné. Cela m'est allée mais comme je ne porte plus les vêtements de manches courtes dehors, je pense faire un sac en vrac vu que j'ai encore le reste de ruban bleu chez moi (qui était pour le bricolage du chapeau d’été).

Comment faire ? J'ai seulement suivi le tutoriel de YouTube et les "Life Hacks" avec le mot clé: how to make produce bag / DIY produce bag. Je mets les aiguilles de chaque coté comme le bricolage précédent. Enfin je l'ai fait coudre chez ma grand-mère (elle est la seule personne qui peut utiliser la machine). Je planifie d'utiliser ce sac pour acheter de la banane ou du citron.

Bisous,
@naragrandis

mon sac en canevas favori : mélanger le produit local et français



Bonjour !

En fait, cela fait longtemps que je n'ai pas écrit ici, le mois dernier j’étais très occupée de collectionner les documents nécessaires pour la bourse d’études (en espérant que je serai admise). Aujourd'hui j'aimerais vous montrer ce que j'avais fait pendant mon temps libre le mois dernier... car je pense toujours faire des bricolages, notamment pour minimiser ma consommation.

J'en ai actuellement trois (ou cinq, je ne compte plus) mais le troisième bricolage est encore en cours et cela prend tellement longtemps car je fais une multitâche. Le premier c'est comme dans l'image ci-dessus : mélanger deux sacs en canevas et je pensais mélanger les deux par une couture (le couturier est dans la rue, presque près de chez moi). Les sacs que j'ai sont un produit indonésien et celui de France (surtout Paris). Le sac que j'ai de Paris est un "giveaway" d'un magasin de souvenirs (et malheureusement, elle ne les vend plus) en 2015. Il a été directement envoyé de Paris en Indonésie (plus précisément: Bandung). Le sac est actuellement très épais et que je ne peux pas prendre beaucoup de choses avec cela, donc, je le garde juste... mais l’idée de mélanger deux sacs est venue juste le mois dernier.

Le deuxième sac est du produit indonésien appelé Leilo Design. Ce magasin en ligne vend non seulement les sacs en canevas, mais aussi les petits sacs (comme le sac en vrac mais plutôt comme une trousse) comme souvenir de mariage, etc. Je l'ai acheté il y a trois ans pour 50 000 rupiah (frais de livraison non inclus) et d'abord, je l'ai porté comme un sac régulier, au quotidien; ensuite pour les choses comme mes cosmétiques, et enfin le sac pour faire du shopping.

Le mélange de deux sacs sont très simples : je n'ai rien coupé, j'ai plié juste le sac de Paris et je mets les aiguilles de chaque coté pour faciliter la couture. Puis, je suis allée au couturier de la rue et voilà ! Et quand je pensais qu'il y avait quelque chose qui manque, j'ai ajouté deux rubans bleu blanc rouge à deux cotés. Voici la vidéo du résultat :


Bisous,
@naragrandis

jeudi 16 mai 2019

Être (presque) zéro déchet : cinq principes



Bonjour tout le monde !

Comme une publication précédente, j’aimerais partager mon expérience et je me concentre ici sur les cinq principes de zéro déchet : Refuser, Réduire, Réutiliser, Recycler et Composter. L’idée fausse qu’on a reçue en Indonésie est partagée seulement en trois : Réduire, Réutiliser et Recycler, qui provoque souvent l’encombrement (surtout à la maison).

Premièrement, REFUSER tout ce dont on n’a pas besoin : c’est-à-dire les produits à usage unique (comme les sacs, les contenants, et les couverts en plastiques), les dépliants, les publicités imprimées (et la solution est d’arrêter la souscription des catalogues imprimés, ou en France on met l’étiquette « STOP PUB » dans la boîte aux lettres), les kits (goodies) et les tickets de caisse (qui n’est pas facilement recyclable ni compostable).

Deuxièmement, RÉDUIRE les gaspillages alimentaires (selon le séminaire que j’ai suivi, Indonésie est le deuxième pays ayant trop de déchets alimentaires, alors que beaucoup entre nous ont encore très faim), les emballages jetables (pareil comme les plastiques, mais il existe aussi les autres matériels pour l’emballage), et la consommation d’énergie (éteindre l’eau et l’électricité quand on ne les utilise pas). En plus, acheter moins peut éviter la surcharge chez soi, et en même temps on fait des économies en achetant des produits locaux, des choses en vrac, et des choses en occasion (ce dernier se trouve souvent moins cher) et ; prendre soin de nos affaires peut se faire en quelques exemples : réparer tout ce qui est cassé, faire un échange ou partager des choses avec des amis et, donner quelques-uns de vos affaires pour ceux qui en ont besoin. Résultat ? Acheter les produits alimentaires en vrac nous évite d’acheter les nourritures à emporter (ce qui est souvent emballé en polystyrène étant très néfaste pour la santé) et manger tout ce qu’on a déjà.

Troisièmement, RÉUTILISER tout ce qu’on a déjà. C’est-à-dire, (ré)utiliser ce qui peut avoir une seconde vie, comme par exemple : un vieux tee-shirt peut être upcyclé en « sac en vrac », utiliser les contenants « Tupperware » ou les bocaux en verre–mais si on n’en a pas, c'est bien d’acheter en quelques tailles selon les besoins. C’est vrai qu’ils sont chers, mais ils sont des investissements pour notre quotidien et pour la vie–, etc.

Quatrièmement, RECYCLER les choses inévitables, comme par exemple : des verres, des papiers, des cartons, des métaux, des tissus, des stylos, des cartouches d’encre et des bouchons. Il existe aussi quelques plastiques recyclables, même s’il y en a qui sont très difficiles à le faire. Je vais publier plus tard des types de plastiques.

Dernièrement, COMPOSTER les déchets organiques. Pas tous les organiques sont compostables, et selon le blog Zero Waste Adventure, quelques déchets alimentaires à base d’animaux ne sont pas vraiment compostables. Chez moi, je composte toujours les déchets à base de plantes, et j’apprends encore ce qui sont compostables, il me faut beaucoup de recherches.

J’espère vraiment faire un impact positif pour la planète, même si on est très peu d’en faire.

@naragrandis
(apprentie d’être écolo)

mardi 30 avril 2019

Être (presque) zéro déchet : les déchets fréquents au quotidien




Bonjour tout le monde !

Je ne suis pas 100% sans plastique mais voici les déchets fréquents chez moi au quotidien :

  • Les bouteilles de boissons organiques en plastique (j’écrirai les types de plastiques plus tard)
  • Les morceaux de ruban adhésif double face
  • Les autocollants de code-barre
  • Les bouteilles aérosols de déodorant et celles d’anti-moustiques
  • Les boîtes en carton de lait
  • Les papiers déjà utilisés recto verso
  • Les boîtes de colis en carton
  • Les films plastiques (on peut les remplacer en enveloppe de cire d’abeille / beeswax wraps)
  • Les couverts en plastiques
  • Les serviettes hygiéniques (ma sœur les utilise encore car elle pense que c’est plus pratique, mais pour moi, je me gratte toujours en bas, j’ai déjà passé aux serviettes lavables même si j’utilise encore un ou deux serviettes à usages uniques pendant mon voyage car je ne fais pas la lessive)
  • Les mouchoirs à usages uniques
  • Les mouchoirs pour le bébé (baby wipes)
  • Les éponges lessives à usage de courte durée (3 mois)
  • Les sachets de thé (on peut passer aux feuilles de thé)
  • Les emballages de médicaments de la (para)pharmacie
  • Les contenants polystyrènes (quand je n’ai pas pris mon contenant pendant l’achat de la viande ou du poulet)
  • Les lingettes démaquillants (j’ai déjà passé aux lingettes lavables)
  • Les tubes de dentifrice et de savon du visage (ce sont des plastiques qui ne sont pas faciles à recycler)
  • Les bouteilles de type PEHD (du lait, de l’eau de Javel, du nettoyant, etc.)
  • Les déchets organiques non compostables.
  • Les déchets électroniques (portables en extinction définitive, câbles qui ne marchent plus, pilules non rechargeables, etc.)

Voilà, c’est beaucoup, non ? Vivre avec ma famille qui ne sont pas vraiment zéro déchet (haha moi aussi, on y est presque quand même) n’est pas toujours facile, mais petit à petit, on réduit ensemble les déchets jusqu’au plus petit que les Indonésiens en moyenne. Pourvu que ça marche ! *croiser mes doigts*


@naragrandis