Bonjour tout le monde !
Comme une publication précédente,
j’aimerais partager mon expérience et je me concentre ici sur les cinq
principes de zéro déchet : Refuser, Réduire, Réutiliser, Recycler et
Composter. L’idée fausse qu’on a reçue en Indonésie est partagée seulement en
trois : Réduire, Réutiliser et Recycler, qui provoque souvent
l’encombrement (surtout à la maison).
Premièrement, REFUSER tout ce
dont on n’a pas besoin : c’est-à-dire les produits à usage unique (comme
les sacs, les contenants, et les couverts en plastiques), les dépliants, les
publicités imprimées (et la solution est d’arrêter la souscription des
catalogues imprimés, ou en France on met l’étiquette « STOP PUB » dans la boîte aux lettres),
les kits (goodies) et les tickets de caisse (qui n’est pas facilement
recyclable ni compostable).
Deuxièmement, RÉDUIRE les
gaspillages alimentaires (selon le séminaire que j’ai suivi, Indonésie est le
deuxième pays ayant trop de déchets alimentaires, alors que beaucoup entre nous
ont encore très faim), les emballages jetables (pareil comme les plastiques,
mais il existe aussi les autres matériels pour l’emballage), et la consommation
d’énergie (éteindre l’eau et l’électricité quand on ne les utilise pas). En
plus, acheter moins peut éviter la surcharge chez soi, et en même temps on fait
des économies en achetant des produits locaux, des choses en vrac, et des
choses en occasion (ce dernier se trouve souvent moins cher) et ; prendre
soin de nos affaires peut se faire en quelques exemples : réparer tout ce
qui est cassé, faire un échange ou partager des choses avec des amis et, donner
quelques-uns de vos affaires pour ceux qui en ont besoin. Résultat ?
Acheter les produits alimentaires en vrac nous évite d’acheter les nourritures
à emporter (ce qui est souvent emballé en polystyrène étant très néfaste pour
la santé) et manger tout ce qu’on a déjà.
Troisièmement, RÉUTILISER tout ce
qu’on a déjà. C’est-à-dire, (ré)utiliser ce qui peut avoir une seconde vie, comme par exemple : un
vieux tee-shirt peut être upcyclé en « sac en vrac », utiliser les contenants
« Tupperware » ou les bocaux en verre–mais si on n’en a pas, c'est
bien d’acheter en quelques tailles selon les besoins. C’est vrai qu’ils sont
chers, mais ils sont des investissements pour notre quotidien et pour la vie–,
etc.
Quatrièmement, RECYCLER les
choses inévitables, comme par exemple : des verres, des papiers, des
cartons, des métaux, des tissus, des stylos, des cartouches d’encre et des
bouchons. Il existe aussi quelques plastiques recyclables, même s’il y en a qui
sont très difficiles à le faire. Je vais publier plus tard des types de plastiques.
Dernièrement, COMPOSTER les
déchets organiques. Pas tous les organiques sont compostables, et selon le blog
Zero Waste Adventure, quelques déchets
alimentaires à base d’animaux ne sont pas vraiment compostables. Chez moi, je composte
toujours les déchets à base de plantes, et j’apprends encore ce qui sont compostables, il me faut
beaucoup de recherches.
J’espère vraiment faire un impact
positif pour la planète, même si on est très peu d’en faire.
@naragrandis
(apprentie d’être écolo)